Écris par
Agathe Bouffart
Publié le
17.4.2025
Dans un contexte où les espaces de travail sont de plus en plus hermétiques, climatisés et densément occupés, la qualité de l’air intérieur devient une préoccupation majeure pour les entreprises. Pourtant, elle reste trop souvent négligée au profit de critères plus visibles comme l’éclairage, l’ergonomie ou le design des locaux.
Or, l'air que nous respirons en entreprise a un impact direct sur notre santé, notre bien-être et nos capacités cognitives.
D’après l’ADEME, nous passons plus de 90 % de notre temps dans des espaces clos : bureaux, open spaces, salles de réunion, transports… Ces environnements sont propices à l’accumulation de nombreux polluants invisibles mais nocifs :
Les conséquences d’un air pollué dans les bureaux sont souvent insidieuses, car elles s’installent progressivement. Pourtant, elles sont bien réelles et documentées par de nombreuses études scientifiques.
Parmi les symptômes les plus fréquemment observés chez les salariés exposés à un air vicié :
Ces troubles, regroupés sous le nom de "syndrome du bâtiment malsain", nuisent à la qualité de vie au travail, augmentent le risque d’absentéisme et pèsent sur la performance globale des équipes.
L’environnement de travail a un effet direct sur la productivité. Plusieurs études démontrent que la qualité de l’air influence la prise de décision, la concentration, et la rapidité d’exécution des tâches intellectuelles.
Une étude menée par la Harvard T.H. Chan School of Public Health a montré que dans un environnement bien ventilé et à faible concentration de polluants, les capacités cognitives augmentent jusqu’à 60 % par rapport à un environnement mal aéré.
Par ailleurs, le World Green Building Council a révélé qu’une meilleure qualité de l’air pouvait entraîner jusqu’à 11 % d’augmentation de la productivité.
Ainsi, purifier l’air des espaces de travail ne relève pas du simple confort : c’est un levier stratégique pour améliorer la performance individuelle et collective.
Face aux limites des systèmes de purification traditionnels (filtres HEPA, ioniseurs, purificateurs à ozone, etc.), une nouvelle approche émerge : la purification de l’air par les microalgues.
Cette technologie s’inspire de la photosynthèse naturelle. Les microalgues captent le CO₂, absorbent certains COV et particules, puis relâchent de l’oxygène. Résultat :
Des entreprises comme Bioteos proposent des dispositifs intégrant ces microalgues dans des unités design, silencieuses et autonomes, parfaitement adaptées aux bureaux et aux lieux de travail.
Investir dans une solution naturelle de purification de l’air ne relève pas uniquement d’une logique de santé publique ou de productivité. C’est aussi une démarche forte en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
Intégrer ce type de dispositif permet :
C’est une opportunité pour fédérer vos collaborateurs autour de projets porteurs de sens, tout en répondant aux attentes croissantes en matière de durabilité, de qualité de vie au travail et de performance responsable.
Une sélection faite pour vous.
La pollution atmosphérique, en particulier celle liée aux particules fines (PM), constitue l’un des principaux risques environnementaux pour la santé publique.
Bioteos a été mise à l’honneur avec une victoire dans la catégorie "Green & Smart Workplace
Bioteos a participé à l’émission Qui veut être mon associé ? sur M6, une expérience intense et riche en émotions ! Nous avons présenté notre solution innovante pour un air plus sain, convaincu les investisseurs et lancé des offres exclusives QVEMA. Ce passage marque une étape clé dans notre aventure entrepreneuriale.