Comment l’air purifié peut faire la différence ?

La qualité de l’air intérieur au travail : un enjeu sous-estimé mais essentiel

Dans un contexte où les espaces de travail sont de plus en plus hermétiques, climatisés et densément occupés, la qualité de l’air intérieur devient une préoccupation majeure pour les entreprises. Pourtant, elle reste trop souvent négligée au profit de critères plus visibles comme l’éclairage, l’ergonomie ou le design des locaux.

Or, l'air que nous respirons en entreprise a un impact direct sur notre santé, notre bien-être et nos capacités cognitives.

D’après l’ADEME, nous passons plus de 90 % de notre temps dans des espaces clos : bureaux, open spaces, salles de réunion, transports… Ces environnements sont propices à l’accumulation de nombreux polluants invisibles mais nocifs :

1. Dioxyde de carbone (CO₂) émis naturellement par la respiration
2. Composés organiques volatils (COV) issus des matériaux de construction, peintures, colles, mobiliers
3. Oxydes d’azote (NOx) liés à la pollution urbaine extérieure qui pénètre dans les bâtiments
4. Particules fines (PM2.5, PM10) en suspension dans l’air
5. Odeurs, allergènes et moisissures favorisées par une mauvaise ventilation

Des effets réels mais souvent invisibles sur la santé des collaborateurs

Les conséquences d’un air pollué dans les bureaux sont souvent insidieuses, car elles s’installent progressivement. Pourtant, elles sont bien réelles et documentées par de nombreuses études scientifiques.

Parmi les symptômes les plus fréquemment observés chez les salariés exposés à un air vicié :

• Fatigue chronique malgré un sommeil suffisant
• Maux de tête ou migraines récurrentes
• Irritations des yeux, de la gorge ou de la peau
• Difficultés respiratoires, allergies saisonnières exacerbées
• Sensation de mal-être général ou de saturation mentale

Ces troubles, regroupés sous le nom de "syndrome du bâtiment malsain", nuisent à la qualité de vie au travail, augmentent le risque d’absentéisme et pèsent sur la performance globale des équipes.

Un air pur favorise la concentration et la performance au quotidien

L’environnement de travail a un effet direct sur la productivité. Plusieurs études démontrent que la qualité de l’air influence la prise de décision, la concentration, et la rapidité d’exécution des tâches intellectuelles.

Une étude menée par la Harvard T.H. Chan School of Public Health a montré que dans un environnement bien ventilé et à faible concentration de polluants, les capacités cognitives augmentent jusqu’à 60 % par rapport à un environnement mal aéré.

Par ailleurs, le World Green Building Council a révélé qu’une meilleure qualité de l’air pouvait entraîner jusqu’à 11 % d’augmentation de la productivité.

Ainsi, purifier l’air des espaces de travail ne relève pas du simple confort : c’est un levier stratégique pour améliorer la performance individuelle et collective.

Les microalgues : une solution naturelle, durable et innovante

Face aux limites des systèmes de purification traditionnels (filtres HEPA, ioniseurs, purificateurs à ozone, etc.), une nouvelle approche émerge : la purification de l’air par les microalgues.

Cette technologie s’inspire de la photosynthèse naturelle. Les microalgues captent le CO₂, absorbent certains COV et particules, puis relâchent de l’oxygène. Résultat :

• L’air est naturellement purifié, sans ajout de substances chimiques
• La solution est faiblement énergivore, avec une empreinte carbone minimale
• C’est un procédé vivant et visible, qui sensibilise naturellement les utilisateurs à leur environnement

Des entreprises comme Bioteos proposent des dispositifs intégrant ces microalgues dans des unités design, silencieuses et autonomes, parfaitement adaptées aux bureaux et aux lieux de travail.

Un vecteur puissant d’engagement RSE et de bien-être au travail

Investir dans une solution naturelle de purification de l’air ne relève pas uniquement d’une logique de santé publique ou de productivité. C’est aussi une démarche forte en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE).

Intégrer ce type de dispositif permet :

• De réduire l’empreinte carbone liée aux systèmes de climatisation ou de filtration traditionnels
• De valoriser la santé et le bien-être des collaborateurs au cœur de la stratégie RH
• D’adopter une innovation verte visible, qui incarne concrètement vos engagements environnementaux
• De sensibiliser les équipes à la qualité de leur environnement de travail et aux solutions écologiques existantes

C’est une opportunité pour fédérer vos collaborateurs autour de projets porteurs de sens, tout en répondant aux attentes croissantes en matière de durabilité, de qualité de vie au travail et de performance responsable.

Sources

• ADEME – Pollution de l’air intérieur : https://www.ademe.fr/particuliers-eco-citoyens/air-bruit/pollution-air-interieur
• Harvard T.H. Chan School of Public Health – Impact of Indoor Air on Cognitive Function : https://www.hsph.harvard.edu/news/press-releases/cleaner-air-office-work-performance/
• World Green Building Council – Health, Wellbeing & Productivity in Offices : https://www.worldgbc.org/news-media/health-wellbeing-productivity-offices-next-chapter-green-building

‍